La C.G.T. des universités de Montpellier est un syndicat de site qui défend toutes les salariées et tous les salariés (personnels, étudiants, entreprises privées) qui travaillent sur tous les sites des universités de Montpellier.
Dans nos champs professionnels, comme dans tous les autres, les femmes subissent plus la précarité, les bas salaires et les temps partiels imposés qui pèsent sur l'ensemble des travailleurs et des travailleuses... - Égalité femmes-hommes / A la Une - Actus (...)
Les femmes et les minorisé-es de genre subissent des discriminations dans tous les domaines, que ce soit dans la sphère professionnelle (temps partiels imposés, inégalités de salaires avec toujours 17 % de moins que les hommes, plafond de verre pour accéder à des postes à responsabilités, ...), dans (...)
A Lyon, la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes : Le dimanche 7 mars : 14 h, manifestation du départ de la Place Bellecour Le lundi 8 mars : à partir de 15h40, rassemblement Place Jean-Macé. L'Union fédérale des syndicats de l'État publie un 4 pages : Tract du 8 mars 2021 : (...)
Mesdames, Messieurs les Ministres, La date du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, est un jour historique de mobilisations syndicales pour veiller à la défense des droits acquis par et pour les femmes à travers le monde. Plus qu'une simple célébration, cette journée (...)
Objet : Signalement des violences sexistes et sexuelles dans l'ESR, en particulier à l'ENS Lyon Madame la ministre de l'Enseignement Supérieur, L'article 80 de la loi n° 2019-828 du 6 août 2019 de transformation de la fonction publique et le décret n° 2020-256 du 13 mars 2020 relatif au dispositif (...)
Étaient présents pour la CGT, Lionel Boiroux et François Poupet Point d'approbation du PV du dernier CTE du 10 novembre 2020 Résultats et explication de vote Nombre de votants : 9 Pour : 8 Abstention : 1 Contre : 0 La CGT a voté pour. Point sur la réorganisation du SCD (BU) Trois axes de (...)
Le 1er janvier 2021, le SMIC a été revalorisé de 0,99 %, c'est à dire le strict minimum légal. Néanmoins, c'est plus que nos traitements qui, eux, sont restés bloqués, comme chaque année depuis 2016 (le point d'indice est gelé depuis des années, soit une perte du pouvoir d'achat de 17,8 % depuis 2000). (...)