La C.G.T. des universités de Montpellier est un syndicat de site qui défend toutes les salariées et tous les salariés (personnels, étudiants, entreprises privées) qui travaillent sur tous les sites des universités de Montpellier.
Alors que le nombre de privé·es d'emploi explose, les entreprises utilisent le Covid 19 comme prétexte pour licencier, baisser les rémunérations et poursuivre leur course aux profits ! Pas un jour ne se passe sans que l'on entende parler d'un nouveau plan de licenciements, d'accords de performance (...)
Pour la non-promulgation de « loi de programmation de la recherche » Pour le retrait de la « loi de sécurité globale » Pour la défense de nos droits et des libertés universitaires Pour la réouverture des universités avec les moyens nécessaires Les deux lois « de programmation de la recherche » et « de (...)
Une réforme globale s'inscrivant dans une idéologie autoritaire et centralisée Dans son livre intitulé « Construisons ensemble l'École de la confiance » au début du chapitre consacré à la formation initiale des professeur·ses, Jean Michel Blanquer écrit : « La formation initiale est [en effet] la clé de (...)
Le gouvernement a annoncé le 1er février 2019 sa volonté de faire voter une loi pluriannuelle ambitieuse pour développer la recherche. Nous assistons au mois de novembre 2020 au dénouement de près de deux ans de « maturation » d'une loi destructrice pour l'ESR. Le contenu de la loi de programmation de (...)
A l'occasion de la Journée Mondiale des Toilettes qui mobilise en faveur de l'accès à des toilettes saines et sécurisées et de l'assainissement, la FERC CGT alerte sur les conditions de travail des femmes. Les règles des femmes ne s'arrêtent pas à la porte de leur lieu de travail. Les femmes, qui ont (...)
On estime qu'une femme menstruée dépensera au cours de ses cycles 3800 € dans l'achat de protections (les moins chères et qui pourraient mettre sa santé en danger), somme décuplée quand on inclut toute la gestion des règles (médicaments, vêtements, linge,…). On estime qu'en 2020 ce sont encore 2 millions (...)